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L’application Stop Covid en France : ce qu’il faut savoir !

  1. De quoi parle t-on ?
  2. Comment fonctionne t-elle ?
  3. Comprendre les enjeux, risques et dangers soulevés ?
  4. Ils se mobilisent et alertent !
  5. Les applications de traçage ailleurs dans le monde…
  6. Le covid 19 : une occasion de faire un saut de plus dans un monde de surveillance ?!

Maj du 4 Mai 2020

Bonne nouvelle, apparemment, l’application StopCovid ne sera pas prête pour le 11 mai. Le ministre de la Santé Olivier Véran prépare déjà la France à ce qu’elle ne voit jamais le jour.

C’est un coup dur pour StopCovid, qui sonne peut-être comme un coup d’arrêt. À la sortie du conseil des ministres le 2 mai 2020, Olivier Véran a assuré que l’application ne serait pas prête pour le 11 mai, date supposée du déconfinement. Pour enfoncer le clou, il a appuyé les propos du Premier ministre Édouard Philippe tenus le 28 avril, qui avaient déjà esquissé une remise en cause de l’utilité de l’application dans le dispositif lié au déconfinement. Article de Numérama du 2 mai 2020

1 – Stop Covid 19 – De quoi parle t-on ?

Stop Covid, c’est le nom de l’application mobile que le gouvernement français est en train de développer par le biais de l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), avec plusieurs partenaires européens dont l’Allemagne. Elle est présentée comme un axe du gouvernement pour lutter contre l’épidémie du coronavirus.

 

“Cette application permettant d’informer ceux qui ont été en contact avec une personne contaminée, sans révéler l’identité mais pour les inviter à se faire dépister. “ selon les explications donnés par Cédric O, secrétaire d’État au Numérique et Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé au journal Le Monde.

2 – Comment l’appli fonctionnera t’elle ?

 

Deux ou trois choses sur les applications de suivi de contacts pendant l’épidémie :

Un article de Stéphane Bortzmeyer : https://www.bortzmeyer.org/tracking-covid-19.html

 

 

3 – Comprendre les enjeux, risques et dangers soulevés ?

La pandémie de coronavirus que nous vivons est-elle une aubaine pour les tenants de la société de surveillance ? Les États, classés comme démocratiques ou dictatoriaux, en profiteront-ils pour accroître leur emprise sur les citoyens, comme cela a déjà été le cas avec la “guerre mondiale contre le terrorisme” ? De fait, alors que plusieurs pays, dont la France, construisent leurs stratégies de déconfinement, on parle un peu partout des applications mobiles de traçage du virus. A priori, elles devraient permettre de mieux détecter les personnes infectées, de mieux les isoler et de mieux les traiter. Mais ces applications inquiètent. Pour mieux cerner cette problématique, nous avons fait appel à trois grands témoins.

Une telle application engendra toujours beaucoup plus de problèmes que de solutions :

 

Des spécialistes en cryptologie, sécurité ou droit des technologies ont mis a profit leur expertise pour analyser l’application Stop Covid :

 

Le traçage automatisé des contacts à l’aide d’une application sur smartphone comporte de nombreux risques, indépendamment des détails de fonctionnement de cette application. Nous sommes spécialistes en cryptographie, sécurité ou droit des technologies. Notre expertise réside notamment dans notre capacité à anticiper les multiples abus, détournements et autres comportements malveillants qui pourraient émerger. Nous proposons une analyse des risques d’une telle application, fondée sur l’étude de scénarios concrets, à destination de non-spécialistes.

L’application StopCovid serait inutile, dangereuse pour nos libertés et pourrait même aggraver la situation sanitaire.

L’administration et le Parlement doivent cesser d’investir toute ressource humaine ou économique dans ce projet vain et dangereux. L’urgence est partout ailleurs.

Nos arguments pour rejeter StopCovid

Les arguments développés :

Une efficacité hasardeuse

  • Utilisation trop faible
  • Résultats trop vagues
  • Contre-efficacité sanitaire

Des libertés inutilement sacrifiées

Discriminations

  • que ce soit en la rendant obligatoire, ou par une pression sociale trop importante, les personnes n’utilisant pas l’application risqueraient de ne plus pouvoir travailler ou accéder à certains lieux publics librement (voir déjà un exemple en Italie), rendant leur consentement non-libre et donc nul ;
  • une hypothèse de discrimination particulièrement grave serait de faciliter l’accès aux tests sérologiques pour les personnes utilisant l’application.

Surveillance

  • dans le cas où l’application serait adoptée par une partie de la population, il faut redouter que le gouvernement puisse l’imposer plus facilement au reste de la population, contre sa volonté ; nous constatons que toutes mesures sécuritaires et liberticides prises dans les temps « d’urgence » n’ont jamais été remises en cause – c’est l’effet cliquet qui participe à la défiance justifiée contre ces solutions de contrôle ;
  • l’objectif de l’application (alerter des personnes ciblées) est par essence incompatible avec la notion juridique d’anonymat – il s’agit au mieux d’un pseudonymat, qui ne protège pas contre tout type de surveillance individuelle ;
  • la publication du code de l’application sous une licence libre, ainsi que l’utilisation de méthodes de compilation reproductibles, seraient des exigences indispensables contre ces abus, mais elles-mêmes insuffisantes.

Acclimatation sécuritaire

  • personne n’est capable de dire à l’avance pendant combien de temps l’application serait déployée sachant qu’il n’y a pratiquement jamais de retour en arrière ;
  • une fois l’application déployée, il sera plus facile pour le gouvernement de lui ajouter des fonctions coercitives (contrôle individuel du confinement) ;
  • l’application incite à soumettre son corps à une surveillance constante, ce qui renforcera l’acceptabilité sociale d’autres technologies, comme la reconnaissance faciale ou la vidéo surveillance automatisée, qui sont actuellement largement rejetées ;
  • solutionnisme technologique : l’application renforce la croyance aveugle dans la technologie et la surveillance comme principales réponses aux crises sanitaires, écologiques ou économiques, alors qu’elles détournent au contraire l’attention des solutions : recherche scientifique, financement du service public…

 Les arguments développés par PY Gosset de Framasoft :

Le positionnement de Framasoft est assez clair : StopCovid est un leurre. Un mirage. Comme en magie, c’est une illusion. Et cette illusion permet de glisser dans la tête de #lesgens trois idées très dangereuses :

  1. Elle nous prépare à avoir une application de surveillance de nos comportements, qui nous suivrait partout « pour notre bien et celui des autres », sans que cela n’impacte nos libertés fondamentales (c’est faux). Je ne reviens pas là-dessus, c’est largement évoqué dans les articles plus haut. Le problème, on le répète, ne vient pas tant du problème de “Est-ce qu’on peut tracer sans porter atteinte à la vie privée ?”, c’est “Accepte-t-on d’être tracé et donc de faire – encore – un pas de géant en avant vers une société du contrôle ?”
  2. Elle persiste à laisser croire que la technologie est neutre, et qu’elle peut être invoquée, telle une divinité, pour résoudre nos problèmes. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que parmi les plus ardents défenseurs de StopCovid, on retrouve pas mal d’ingénieur⋅e⋅s et d’informaticien⋅ne⋅s, convaincu⋅e⋅s qu’avec le bon design et le bon protocole, les avantages surpasseront les risques.
    Rien de nouveau à ce que l’Homme cherche à se prendre pour Dieu, puisque Dieu est mort (© Nietzsche). Mais cette quête du pouvoir divin semble surtout nous avoir rendu complètement cons. En effet, la seule étude parue aujourd’hui est celle de Science 4, qui commence à être bousculée dans le milieu scientifique car d’une part c’est la seule, d’autres part d’autres chercheur⋅euse⋅s remettent en cause le modèle mathématiques utilisé (qui, rappelons le, indique que ça ne peut pas avoir d’efficacité en dessous de 60%). Même l’auteur de « TraceTogether » (l’application singapourienne, qui inspire « StopCovid ») le reconnait lui-même 3 : ce n’est clairement pas la panacée, et cela génèrera de toutes façons de nombreux faux-positifs et au moins autant de faux-négatifs.
  3. Elle dédouanne l’État, en faisant reporter sur des comportements individuels ce qui doit relever d’une action collective, et notamment celle des pouvoirs publics. En Chine (qui n’est pas la dernière en terme de solutionnisme technologique et d’atteintes aux libertés fondamentales), pour chaque malade diagnostiqué, une équipe de 5 personnes au moins se chargeaient de faire le « contact tracing ». 1 800 équipes ont été déployées, soit environ 10 000 êtres humains. C’est long, c’est fastidieux, mais c’est plus efficace qu’une appli. « Houlà, mais ça coûte cher ! » Ben oui. Mais faut savoir ce qu’on veux : soit on se dit que la vie n’a pas de prix (et du coup on cherche à atteindre le “0 décès” peu importe le cout financier), soit on se dit qu’on va se mettre un grigri autour du cou et une banane dans l’oreille, et on laisse faire la prophétie auto-réalisatrice. « Si ça sauve 100 vies, ou même 1 seule, ça sera déjà ça et donc il faut donner toutes les chances à cette appli. ». Ha ben oui mais non, si votre but c’est de sauver une vie, ou même 100, c’est donc que vous êtes prêts à mettre en place des équipes d’épidémiologistes dont on sait que, elles, elles sauront faire le boulot. En attendant, ni vu ni connu, l’État vous aura embrouillé, et quand viendra le temps de juger les responsables, ils pourront se cacher derrière l’argument “Mais on a fait StopCovid, c’est pas de notre faute si les gens l’ont pas tous installé !”, alors qu’ils auraient pu faire le choix d’investir dans de

source : https://forum.chatons.org/t/covid19-et-contact-tracing/1095/10

StopCovid : le double risque de la “signose” et du “glissement”

Le risque de la “signose” : “prendre le signal pour la chose” !

Comme s’en désespère la philosophe du droit Antoinette Rouvroy, le coeur du problème de nos outils d’analyse de données, c’est de relever bien plus d’une “signose” plutôt que d’une diagnose. Une signose consiste à “prendre le signal pour la chose”. C’est-à-dire transformer le signe (la barbe) en signal (la radicalisation) ! Souvenez-vous ! C’est le problème fondamental qui se cache dans les outils d’analyse automatisés et que dénoncent sans relâche nombre de spécialistes du sujet, comme la mathématicienne Cathy O’Neil ou Kate Crawford par exemple.

StopCovid transforme la proximité avec un malade (le signe) en signal (vous avez été infecté) pour déclencher une alerte nécessitant un traitement (confinement, test).

Son inverse, la “diagnose”, elle transforme des symptômes (fièvre, test) en diagnostic (positif ou négatif) pour déclencher un traitement (confinement, prescription médicale, soins…).

Le problème de StopCovid comme d’autres solutions de backtracking proposées, c’est de transformer une notion de proximité en alerte. Or, être à proximité d’un malade ne signifie pas le devenir automatiquement !

4 idées reçues sur la crise du Covid-19 démontées par Edward Snowden

https://www.brain-magazine.fr/article/page-president/60790-Snowden

Idée reçue n°4 : L’Etat d’urgence sera éphémère

L’Etat d’urgence sanitaire n’est que le prolongement des états d’urgence institués depuis les attentats du 11 septembre et les attaques terroristes en Europe. L’urgence est devenue notre quotiden et les gouvernements pourront toujours arguer d’une nouvelle vague de contamination, d’une nouvelle menace pour réduire encore et encore les libertés. Les pandémies risquent de structurer nos vies et déterminer à terme qui pourra avoir un travail ou qui ira à l’école.

5 – Les applications de traçage ailleurs dans le monde

 

 

 

Le Royaume-Uni et l’Allemagne travaillent déjà avec des opérateurs afin de créer des cartes thermiques virtuelles. En Pologne, les personnes confinées se doivent de répondre à des questions du gouvernement, via une application qui se met en route de manière inopinée. Enfin, en République Tchèque, le gouvernement souhaite retracer les discussions des personnes contaminées afin d’entrer en contact avec les dernières personnes contactées. En Israël, cette fois-ci, le gouvernement a autorisé ses services secrets à consulter téléphones et communications des citoyens lambda, sans préavis. Enfin, du côté Américain, la Maison-Blanche collabore avec Facebook afin de mettre en place une étude de localisation afin de garder un aperçu des centres principaux de contaminations au coronavirus.

 

 

 

> Les pays qui utilisent la géolocalisation :antennes-relais et données GPS

 

 

 

Chine, Thaïlande, Corée du Sud, Taïwan, Singapour, Israël, Russie, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Italie, Pologne…

Il s’agit de la technologie la plus évidente, et par conséquent, elle est très utilisée par les Etats depuis le début de la pandémie. Plusieurs dispositifs permettent d’y parvenir.

Pourquoi ? La géolocalisation permet de reconstituer à l’échelle d’une région ou d’une ville les déplacements de population ; identifier les zones à forte densité et à risque ; anticiper et adapter les capacités d’accueil dans les établissements de santé ; contrôler le respect des mesures de confinement de manière globale ou individualisée.

Comment ? Les opérateurs télécoms possèdent de nombreuses informations grâce aux données mobiles récoltées par le biais des antennes-relais. L’avantage : les données sont automatiquement générées dès lors qu’une personne utilise un mobile, et aucune activation de collecte n’est nécessaire par les utilisateurs. Par exemple, Orange fournit à l’Institut français de la recherche médicale (Inserm) des données agrégées, qui ne comportent pas d’information permettant d’identifier les personnes (âge, sexe…), selon l’opérateur. Ainsi, selon ses données de bornage, Orange a estimé qu’environ 1,2 millions de franciliens ont quitté le Grand Paris entre le 13 et le 20 mars.

La géolocalisation peut également être réalisée grâce aux réseaux sociaux (Facebook, Instagram…), aux plateformes et à la myriade d’applications mobiles (Google Maps notamment) qui disposent des données GPS de leurs utilisateurs. Par exemple, les géants américains Facebook et Google ont récemment ouvert aux chercheurs et aux autorités leurs données “agrégées et anonymisées”. Celles-ci proviennent des utilisateurs ayant activé l’option “historique des positions” dans leurs applications, mais aussi sur leur système d’exploitation mobile, comme Android, géré par Google.

Certains pays, comme Taïwan et la Pologne, ont même imposé des dispositifs de géolocalisation aux personnes infectées, susceptibles de l’être ou revenant de l’étranger. Dans le cas précis de la Pologne, l’application envoie de manière aléatoire, plusieurs fois par jour, des SMS demandant aux utilisateurs de se géolocaliser grâce à un selfie. Sans réponse, la police polonaise se rend aux domiciles des personnes concernées.

 

 

 

> Les pays qui utilisent les montres et bracelets connectés

 

 

 

L’Allemagne, Hong Kong.

 

Pourquoi ? Cela peut aider les autorités sanitaires à dresser un aperçu géographique et en temps réel de la propagation de l’épidémie ; contrôler de façon individualisée les mesures de confinement et de quarantaine.

Comment ? En Europe, l’Allemagne est le seul cas d’école connu, avec l’application “Corona-Datenspende” lancée mardi. Celle-ci récolte anonymement et sur la base du volontariat les données de santé issues des montres et bracelets connectés grand public : genre, taille, poids, augmentation du pouls au repos, modifications des habitudes de sommeil et d’activité… mais aussi, le code postal des utilisateurs. Les données sont ensuite analysées et traitées par l’Institut Robert-Koch, qui pilote la lutte contre l’épidémie outre-Rhin.

A Hong Kong, les autorités ont doté toutes les personnes revenant de l’étranger d’un bracelet électronique, similaire à ceux utilisés en cas de peines judiciaires. Celui-ci était ensuite relié à une application devant être téléchargée sur un smartphone. Cette appli peut  envoyer un message d’alerte en cas de sortie du périmètre programmé.

 

 

 

> Les pays qui utilisent le bluetouth

 

 

 

Singapour. Les gouvernements français et allemand développent actuellement des applications qui recourent au Bluetooth.

 

La technologie sans fil Bluetooth est au cœur du projet d’application “StopCovid”, sur lequel le gouvernement français planche actuellement. C’est également le dispositif qui a été retenu par le consortium de chercheurs européens, baptisé PEPP-PT.

Pourquoi ? Le principal usage est de détecter et d’informer des sujets “contacts”. Il s’agit d’identifier les personnes ayant été potentiellement exposées au virus suite à la rencontre de malades (avérés ou asymptomatiques).

Comment ? Recourir au Bluetooth nécessite un pré-requis : l’installation d’une application de traçage numérique, qui fournit un identifiant unique à chaque utilisateur. Une fois installée, l’application détecte par Bluetooth jusqu’à plusieurs mètres les téléphones mobiles également équipés de l’application. Cela permet d’estimer la distance entre plusieurs personnes, ainsi que le temps de contact.

Si une personne dotée de l’application se révèle être porteuse du coronavirus, alors elle se fait connaître auprès des autorités en fournissant l’historique de son application. Cela permet ensuite d’envoyer une notification via l’appli à tous les individus qu’elle a rencontré.

 

 

 

 

 

 

 

> Les pays qui utilisent la vidéosurveillance et reconnaissance faciale

 

 

 

Chine, Corée du Sud, Singapour, Russie…

 

 

Il s’agit des cas les plus extrêmes en terme de “tracking” car ils sont réalisés sans consentement des utilisateurs et par nature, ils sont massivement utilisés puisque les équipements de vidéosurveillance et de reconnaissance faciale dans les espaces publics sont logiquement placés dans des endroits très fréquentés.

Pourquoi ? Surveiller les personnes infectées ou pouvant l’être, mais aussi celle revenant de l’étranger afin de les soumettre strictement à un confinement ou une quarantaine.

Comment ? Cela suppose un maillage des espaces publics avec des dispositifs de vidéosurveillance, pouvant être couplés à de la reconnaissance faciale ou à un contrôle humain.

 

 

 

sources:

  • https://www.latribune.fr/technos-medias/tracking-du-covid-19-comment-font-les-autres-pays-844772.html
  • https://www.zdnet.fr/actualites/covid-19-les-citoyens-du-monde-entier-suivis-a-la-trace-39901015.htm

 

 

 

 

6 – Le covid 19 – une occasion de faire un saut de plus dans un monde de surveillance…

Lutte contre le covid-19 : l’alerte d’Edward Snowden

https://www.vice.com/fr/article/bvge5q/le-coronavirus-sert-a-construire-une-architecture-de-loppression

 

 

Sur le blog d’Etikya :

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Un film de Ludovic Gaillard, Sylvain Louvet diffusé sur Arte Au nom de la lutte contre le terrorisme, l’Europe, les États-Unis et surtout la Chine se sont lancés depuis peu dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Surveillés, localisés, traqués......

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